Maria Sharapova ou l’urgence d’équiper les sportifs…

Lors d’une conférence de presse à Los Angeles, Maria Sharapova a annoncée avoir été contrôlée positive au meldonium pendant l’Open d’Australie.

La joueuse de tennis a tenu à expliquer qu’il s’agissait d’un cas de dopage par inadvertance :

« Ce médicament est l’un de ceux, parmi d’autres, que j’ai pris. Il n’était pas sur la liste des produits prohibés par l’Agence mondiale antidopage, mais le règlement a changé le 1er janvier dernier et ce médicament est devenu un produit prohibé, ce que je ne savais pas.»

Ce nouveau cas de dopage pose à nouveau la question des carences d’information dont souffrent les sportifs de haut niveau et, à plus forte raison, les sportifs amateurs.

 

Pas facile de s’y retrouver…

Pour s’adapter à l’évolution des techniques dopantes, les instances qui dirigent la législation antidopage sont obligées de modifier chaque année la liste des substances interdites. Dans le même temps, l’industrie pharmaceutique commercialise chaque mois de nouveaux médicaments pouvant justement contenir une de ces substances interdites.

A titre d’exemple, en France, plus de 3000 médicaments sont susceptibles de positiver un contrôle antidopage sur les 24 000 références mises sur le marché – sans aucune indication sur l’emballage.

À cela s’ajoute la problématique des compléments alimentaires dont 15 à 25% contiennent des substances interdites, là aussi non mentionnées sur l’emballage.

On comprend mieux la difficulté que rencontrent les sportifs honnêtes pour se soigner ou compléter leur alimentation…

Pourtant, qui peut penser que Sharapova n’est pas accompagnée en permanence par des professionnels de santé de très haut niveau ? Le nœud du problème, c’est d’être informé, en permanence, et en temps réel alors que tous les paramètres changent constamment (Liste des médicaments / compléments disponibles sur le marché vs. Liste des substances interdites).

 

 

Des applications digitales pour y voir plus clair…

C’est la raison pour laquelle, la société SPORT Protect développe depuis 10 ans des solutions uniques afin d’aider les acteurs du sport à se protéger du dopage par inadvertance.

Ainsi, avec ses bornes interactives et les applications proposées aux fédérations, les sportifs peuvent en quelques secondes découvrir le statut d’un médicament ou d’un produit nutritionnel au regard de la lutte antidopage.

Si Maria Sharapova avait disposé de cette application, elle aurait pu s’apercevoir grâce à une ampoule rouge, que le meldonium était une substance interdite (depuis le premier janvier 2016). Elle aurait également pu recevoir une alerte automatique immédiatement, au moment du passage de ce médicament sur la liste des produits interdits.

Meldonium

 

De conception française, les solutions SPORT Protect sont uniques au monde. De nombreux pays sollicitent actuellement SPORT Protect pour équiper l’ensemble de leurs athlètes.

 

Avec cette solution, c’est l’ensemble du Sport qui est gagnant…

Les fédérations qui équipent leurs membres protègent et responsabilisent leurs athlètes.

À ce jour, SPORT Protect équipe plusieurs Fédérations qui protègent ainsi 100% de leurs licenciés.

La Fédération Française de Tennis qui a déjà équipé les médecins de Coupe Davis et de Fed Cup avec les applications SPORT Protect étudie la possibilité d’équiper chaque licencié.

Un outil qui aurait pu éviter bien des ennuis à Maria Sharapova et sa Fédération…

 

 

Contact presse SPORT Protect :
Dorian Martinez
Téléphone : 06 80 00 88 95
Email : d.martinez@sport-protect.fr

A propos de SPORT Protect :
SPORT Protect est une Jeune Entreprise Innovante au service de la protection des sportifs. Depuis sa création, SPORT Protect se positionne comme le prestataire des institutions, des clubs et des industriels qui souhaitent protéger efficacement la santé et l’intégrité des sportifs amateurs et professionnels.
SPORT Protect propose des solutions innovantes adaptées aux particularités et aux différentes problématiques des acteurs du monde sportif.
Depuis 2013, les applications SPORT Protect sont validées par le Ministère des Sports :
« Les experts du comité ont souligné la modernité, la facilité d’utilisation et l’attractivité de ces applications notamment pour les sportifs de haut niveau très mobiles du fait de leur participation à diverses compétitions. L’aide en ligne, la mise à jour régulière des données et de la réglementation sont appréciables. Les informations sont très complètes et fiables, particulièrement en ce qui concerne les médicaments au regard des substances interdites ou autorisées. »
Depuis 2015, SPORT Protect collabore avec l’UNESCO pour proposer ses solutions aux États signataires de la Convention Internationale Contre le Dopage.

 

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